Je prends une nouvelle route dans la vie, et quitte donc cette région où j'ai fait de belles rencontres et vécu de magnifiques aventures.

A bientôt pour de nouvelles qui se passeront désormais dans le Sud.

Elle lui demanda de mettre le casque, de fermer les yeux et elle le chevaucha...

 


 

 

 

Je suis assise comme tous les soirs dans ce train qui me conduit… Mes pensées ne sont plus là…Il fait froid, mais je brûle… Pourtant j’ai une petite mine, mais d’où viennent ces forces profondes qui me tiennent éveillées, les pensées en fusion… J’ai hâte de rentrer et de vous écrire, car je ne m’attends pas à vous trouver ce soir… Je me dis, bon je vais me reposer du coup… mais non mon esprit vacille, mon corps est en appel complet de vous…

Votre voix explose en moi… Je deviens une infinité de particules… Quelle offrande… Mais ensuite ce sont vos mots couchés là pour moi… God... Il est moi, il est en moi… il me transperce cette carapace…I’m really afraid, and I love that too… Oh no…

Je vous retrouve connecté, je me dis c’est juste pour un instant… cela me approche un peu plus de vous, et je vais devoir me sevrer de cette fièvre qui me consume peu à peu… Et là vous me dites « J’ai retardé mon départ de quelques heures, car je vous veux près de moi »…Oh oui encore…J’aimerai entendre cela de votre bouche, votre main relevant mon menton, et yeux dans les yeux…

J’imagine le scène où vous redescendez, toute troublé… De grands éclats de rire, il y a des moments que l’on veut garder pour soi n’est-ce pas ? Et arrêter le temps…

Moi personne n’est au courant de ce qui se passe là en moi, je suis dans un tourbillon de sensations… Mes collègues ne me posent aucune question mais celle qui me connaît bien, pas besoin de parler avec elle… Mais je ne lui dirais rien.

Ma meilleure amie tente désespérément de m’avoir au téléphone…Hier soir, juste avant de rentrer : « Oh je suis épuisée… mes cartons ne sont pas vidés, mon appartement est en chantier… mais aucune importance, je me sens bien… » Je dévie vers elle, pour éviter de parler de moi.

Une autre amie m’appelle en fin d’après-midi : « Tu viens au Salon d’Automne avec moi Samedi ? » Je ne sais pas, je suis épuisée, j’attends…. Je ne lui dis pas que je vous attends… Je te rappellerai pour te dire… Je n’ai pas envie d’y aller… J’ai envie d’aller vers vous, vers nous… « Bon et sinon ton appartement, tu en es où ? »… Je lui fait la même réponse qu’à ma meilleure amie… sans plus… Elle m’envoie un sms en rentrant : « Je suis connectée si tu veux parler »… Non ce n’est pas à elle que je veux parler…

Vous me quittez, pour aller nourrir vos amis, et me dites que vous reviendrez plus tard… Je fais milles choses, je me connecte sur Deezer, et là je vous attends….Les heures s’égrènent, je décide de me mettre au chaud dans mon lit… et en boucle durant deux heures : 

The Guess Who « These Eyes »

The Main Ingredient « Just don’t want to be lonely »

Nilsson « Without you »

Chris Isaak « Blue Hotel »

Erotic Orchestra « Feelings »

Madonna « Like a Virgin »

Madonna « Forbidden Love »

Kings of Leon « Sex on fire »

Sade « The Best of »

Barry White « It’s ectasy when you lay down next to me »

………..

I’m really afraid about all of that, but I don’t want to stop… not at all…

Vous revoilà, et là le feu reprend… Il ne s’éteint plus depuis bientôt une semaine, au contraire vous ne faites que l’attiser… Mes mots glissent, la musique est adaptée pour accompagner nos mots… Barry White… Le temps passe trop vite, je n’ai pas envie de vous quitter… Mais je sais qu’il vous faut y aller… J’éteins tout…sauf cette chaleur qui est en moi, qui vient de vous…

7h ce matin, le réveil sonne, ouille…durrrr… 7h15… je n’ai pas envie de me lever, je veux rester dans mes rêves si doux… Miroir, mon beau miroir… un peu de noir sur mes yeux, je mets de l’ordre dans mes cheveux, un touche de parfum, là au creux de mes seins…

Il fait froid dehors, le casque sur les oreilles, j’allume une cigarette (eh oui je ne suis pas parfaite non plus) dans cette nuit encore présente, mes pensées divaguent encore, je sens mes joues brûlantes… Cette journée va me sembler longue, si longue mais je vous ai promis de vous écrire… 

C’est avec un café chaud et un croissant que j’ai envie de vous laisser un petit message à peine arrivée ici. Je n’arrive pas à détacher mes pensées de vous…

Et là, les mots coulent encore et encore… Un rayon de soleil sur mon visage, mon corps toujours aussi chaud… Vous me manquez déjà… Est-ce grave ?

Je vous laisse pour le moment avec « Sex on Fire » en fond musical…

Votre Succube.

©Dita

 

 

 

 

 

 

 

 

Assis sur une chaise, il l'a contemplait... Il était à la merci de ses yeux et de son...

 


 

Difficile de rester indifférents à vos mots…

J’aime la façon dont vous décrivez ainsi les hommes, mais plus encore votre façon de vous découvrir à vos lecteurs.

J’ai pris ces textes lentement en vous imaginant les lire…

Moins doué pour faire briller les mots, je vais tenter d’exprimer ce que je pense de cette lecture.

 

Les hommes sont ce qu’ils sont. Parfois rudes, songeurs, lointains, doux, droits, étranges.

Mais là vous jetez des mots sur une page dans lesquelles je me suis senti « moi ». et qui suis je ? je ne saurais vous le dire clairement. Pourriez vous ? …je ne le pense pas.

L’exercice s’écrase sur notre reflet idéalisé (souvent inconscient).

Seul l’étranger peut parler de vous sans se détourner de votre vraie nature.

 

J’aime vous découvrir entre les mots, et je me sens moins aveugle ( sourire) désormais. Votre amour pour les hommes est incontournable aux détours de ces phrases, mais l’on sent également autre chose. L’audace se mélangeant a cette fragilité que vous cachez. Je prends un plaisir à regarder les gens que je croise, ne serait ce qu’un instant. Les yeux vous parlent de la personne et de ces attentes, la bouche de son habilité à se relaxer, ses mains de son quotidien, ses épaules de sa détermination… et j’en suis sûr, chacun cache un secret ou un trésor.

Je les regarde tous avec une mélodie différente qui résonne, et parfois des mots se joignent aux notes…

Quand aux femmes… …………….. Je les aime, elles sont belles, douces ….ah ! Comment pourrais je vivre sans vous. La facilité que vous avez de vous muer en déesses me laisse chaque jour encore plus amoureux.

Ce je préfère chez vous mesdames… sentir votre peau frissonner sous mes doigts, vous délecter puis éclater en mille morceaux, boire votre parfum, regarder au travers de vos yeux. Du plaisir au larmes, si l’on arrive à vous atteindre, alors on touche les nuages, on vibre…

Les frontières se brisent, il n’y a plus de limites, et le nirvana ne serait il pas ce dernier soupir mutuel qui jaillit des profondeurs de l’être ?

Je ne cherche rien d’autre que la liberté, totale, sans obstacle et l’aventure comme ligne directrice. Le reste m’est inconnu.

Je suis un homme chanceux qui respire ce que le monde a de meilleur (enfin j’essaye).

 

Hier je vous ai invité à mes côtés avant de m’endormir, emporté dans mes songes nocturnes. Je dois dire que vous m’attirez, et ces quelques heures de discussion n’ont pas facilité le retour à la sérénité. Cependant, que j’aime cette douce euphorie que vous avez allumée d’une pincée d’intrigue savoureuse, de sourires et de rires complices, de tendresse …

Vous êtes une première fois pour moi (enfin vous comprenez …), (sourire)de cette façon. Je préfère vous dire que « je ne sais pas » …

Et je vous le demande, continuez à me balancer entre vos mots, entre l’envie de vous rejoindre pour vous embrasser et l’envie de fuir. Une drogue bien à part !!!

Envoyez moi d’autres lectures seulement si vous en êtes tentée.

 

Votre complice d’un temps.

 

P.S : j’ai regardé les photos de votre profil ce matin pour accorder mots et pensées.

Fermez les yeux et savoureux les vibratos de cette voix, de ce rythme lancinant comme un corps à corps...

 


 

Le feu sur une peau brûlante.

Basculée sur mon bras, la tête en arrière, vous vous laissez aller aux rythmes des frissons.

Mon autre main vous passe le corps de bas en haut, je sens vos battements de cœur. Au beau milieu de cette scène, ma main est tremblante, votre peau perlé de notre fièvre.

Vous ne quittez plus mon esprit Dita.

J’ai mal.

Est ce possible d’être Addict de cette façon à vous ?

Pour vous faire fuir, je peux vous dire qu’en fait je suis petit, brun, gros, poilu, grossier, …

Cela fonctionne t’il ??? rires.

Jamais je n’ai été frappé aussi fort dans le ventre.

Ëtes vous sûr de vous ?

Je ne contrôle plus grand chose à part cette folie.

Les mots les plus simples m’avez vous dit :

Regardez moi Dita, de ma main je vous prend la joue, et je plonge mon regard au fond de vous. Je sens votre crainte, votre peur. Ne retenez plus vos démons…

Je veux vous donner le baiser le plus doux que vous n’ayez connu. Je veux goûter vos lèvres et provoquer une tempête qui vous perdra.

Au rayon des bougies je veux goûter vos trésors, vous entendre prendre la passion comme bouclier, que vous goûtiez ensuite mon envie…

Pour moi vous êtes un rêve, pour moi vous êtes bien plus…

Vous me faites décoller de terre avec vos mots. Je n’ose imaginer …

« Pourquoi n’es tu pas là ? Réponds moi… . » « Tu as peur, je suis effrayé ».

Rendez vous compte de ce que vous provoquez chez moi, et vous continuez encore et encore sans être là, sans que je vous parle. Et vous vous dites ma Succube.

Vous …

Je n’ai jamais ressenti ça Dita.

Lost.

Parures.JPG

Parures by Ditaepicurienne

Alors il fallait absolument que je vous mette cette perle de la petitesse de certains hommes quand on leur dit la vérité en face !

 

Copie d'un échange éphémère et très instructif au chaud sur un site libertin dont je ne citerais point le nom (par respect pour les gens biens de celui-ci) :

 

Entrée en matière :

 

Bonsoir c est Machin35 ans bi brun yeu bleu bcbg mignon et surtout sans prise de tete pour une rencontre coquine de qualite. Je recois dans un cadre tres agreable avec champagne!! BISES machin@voila.fr ou 06 69 69 69 69

 

Ma réponse :

 

Bonsoir monsieur je sors mon annonce bateau et je la lance à toutes les nanas du site ! Monsieur n'aura pas compris l'originalité pour se démarquer des autres, donc bonne recherche.

 

Le Pompon :

 

ce n est pas plus mal car je ne cherche que du reel et vu votre physique je ne perd absolument rien!!!! Bande de fantasmeur ireel et arogant!!!!!!

 

Moi, toujours aussi correcte :

 

Cher monsieur ce qui est amusant c'est des que l'on dit la vérité vous pensiez que ce cache un "fake" derriere ses mots ! et bien détrompez vous mais je n'aurai point l'envie d'utiliser mon telephone pour vous dire ma façon de penser car ce serait trop d'honneur pour vous.

 

Vous vous êtes bien amusé ? A votre avis il répondra ou non ?

 

Vous en voulez encore ? Promis, je vous les gardent au chaud !

 

©Dita

 

Je frappe, il m'ouvre la porte, pas un mot ne sera prononcé... Je suis brûlante...

Je prends sa main, et la dépose sur mon visage, je lèche ses doigts un à un avant d'enrouler mon foulard autour de son poignet...

J'évite de le frôler ou le toucher, je ne fais qu'admirer la forme de son corps...

J'empoigne son autre poignet et je les réunis ensemble, ni trop serré, ni pas assez...

La proie ne bouge pas, je sens une chaleur irradiée de son corps, son sexe poindre sous sa serviette qui sera bientôt retiré...

Tu ne bouges plus tu es dans l'attente d'un geste, d'un mouvement, d'un frôlement de ma part...

Moi je n'ai plus un seul entravement sur mon corps... Je dépose juste une goutte de parfum au creux de mes seins, pour t'enivrer un peu plus...

Et telle la lionne qui va dévorer sa proie je fais le tour de ma proie...

Je te fais frissonner en soufflant délicatement le long de ton dos... Puis de ton cou...Je suis si proche mais tu ne peux me toucher...

Je sens ta peau d'homme, je souffle doucement sur tes tétons.... la serviette tombe...

Ta respiration s'est accélérée, je m'avance d'un pas vers toi, et tu sens la pointe de mes seins sur ton torse, mes petits ongles vernis frôlent tes bras, remontent sur tes épaules, longent tes reins, et mes deux mains emprisonnent ton joli fessier.

Tu es très excité, et je sens ton sexe durcir contre mo ventre brûlant... Je dépose une douce morsure sur un de tes tétons, mes mains parcourant ton corps (j'adore le corps de l'Autre...)

Telle une danseuse orientale, mon corps ondule contre le tien, pour t'exciter davantage...ma main remontant sur ta nuque, mes lèvres s'approchant de ton cou, de ton oreille, ma langue se faisant coquine...

 

© Dita

 

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